Le cinématelier des rêves est une expérience de création collective imaginée et animée par l'artiste plasticienne Marielle GUILLE, inspirée par le festival Bazouges fait son cinéma et le territoire local.
Il s'agit d'un espace-temps d'imagination, d'expérimentation, de construction, d'action et de création, une aventure cinématographique de ré-enchantement, de ré-invention du territoire, de questionnement aussi.
L’objet-film est le résultat du processus de création collectif.
L’atelier permet, au sein du projet collectif, la
confrontation individuelle à l’acte de création, en pleine et totale
responsabilité, avec ce que cela comporte de choix, d’esprit de
décision, de prise de risque, de doutes et d’excitation.
L'atelier alimente un travail de recherche liant l'artiste, le territoire et l'éducation à la complexité.
L'atelier alimente un travail de recherche liant l'artiste, le territoire et l'éducation à la complexité.
Il
s'agit de faire du cinéma pour comprendre le cinéma comme art et inviter
à créer, être en mouvement, être acteur, explorer sa créativité, être
spect-acteur et développer son intelligibilité, par le déplacement de
points de vue, la décomposition, le rapprochement, l'analyse,
d'apprendre à devenir un spectateur qui éprouve les émotions de la
création.
Le film, résultat du processus de création, permet de visualiser l'imaginaire individuel ou collectif qui s'est exprimé en lien avec le territoire (patrimonial, liens sociaux, culture local, ...)et la diversité des regards. Si le film relève d'une vision poétique du territoire, ne peut-il pas en accompagner le ré-enchantement, dans la perspective de réinvention des territoires par ses habitants, qui en deviennent les acteurs ? ... Prémisses du changement. Il peut aussi donner à voir ce que l'on ne voit plus ou pas, et agit alors comme révélateur, comme une lumière qui éclaire la réalité qui nous entoure et guide dans l'action.
Le spect-acteur apprend à décrypter l'image en mouvement, cette posture permet, au-delà de l'éducation à l'image, de se rappeler que le cinéma est la matérialisation des imaginaires et regards sur le monde qui l'ont réalisé, la trace, cet imaginaire et ces regards étant eux-mêmes significatifs.
Cet atelier constitue une recherche-action liant l'artiste, la complexité et l'innovation des territoires face aux problématiques contemporaines.
Le film, résultat du processus de création, permet de visualiser l'imaginaire individuel ou collectif qui s'est exprimé en lien avec le territoire (patrimonial, liens sociaux, culture local, ...)et la diversité des regards. Si le film relève d'une vision poétique du territoire, ne peut-il pas en accompagner le ré-enchantement, dans la perspective de réinvention des territoires par ses habitants, qui en deviennent les acteurs ? ... Prémisses du changement. Il peut aussi donner à voir ce que l'on ne voit plus ou pas, et agit alors comme révélateur, comme une lumière qui éclaire la réalité qui nous entoure et guide dans l'action.
Le spect-acteur apprend à décrypter l'image en mouvement, cette posture permet, au-delà de l'éducation à l'image, de se rappeler que le cinéma est la matérialisation des imaginaires et regards sur le monde qui l'ont réalisé, la trace, cet imaginaire et ces regards étant eux-mêmes significatifs.
Cet atelier constitue une recherche-action liant l'artiste, la complexité et l'innovation des territoires face aux problématiques contemporaines.
